9ème jour Dimanche de Pâques 5
Avril 2015 :
8h30, nous quittons
l’hôtel, 400 Kms à faire, direction Tentena, sur les bords du Lac Poso, nous
devrions y arriver vers 18h. Le bus est confortable. Des locaux et deux
couples de seniors routards Hollandais. Pour l’instant, température 25°, ciel
nuageux, mais il devrait faire très beau et très chaud, car on redescend des
montagnes. Donc, tout devrais bien se passer, car que de la route……………..
Mais, voilà, cette
journée qui s’annonçait calme et sereine, devint rapidement désagréable.
La “route“, juste
assez large pour un camion, dévastée par les pluies torrentielle, car nous
sommes en zone équatoriale, est une suite ininterrompue de virages très serrées.
Chaque croisement de bus et gros camions, dont le flux est incessant, devient
très vite l’objet de manœuvre délicate, chacun fait des prouesses pour laisser
passer l’autre, mais toutes ces hardiesses technique, sont hyper dangereuse, car
nous sommes coincés entre le flanc de la montagne couvert de végétations
tropicale, sur un sol gorgé d’eau qui ne demande qu’a s’ébouler, et les précipices
abrupt……….
Bref, nous en
plein dans l’émission,,,,,,,,, “les routes de l’extrêmes“.
Jusque là, ma foi,
on risquait à tout moment de perdre la vie, on roulait doucement, mais on
avançait. Nous arrivons, enfin, en vie, dans la plaine longeant le bord de mer,
jolie côte parsemées de plage de sable fin, de cocotiers, bon j’arrête le
supplice,
quant soudain, un bruit sec claque sous le bus. Le chauffeur, stoïque, continu quelques kilomètres, et décide, enfin, de savoir, pourquoi ce bruit.
Après diagnostic, c’est tout simplement les attaches du paquets de lames de ressort de la roue avant droite qui a cédé. Pas affolé du tout, le chauffeur et ces 4 aides, placent le cric sur quelque morceau de bois récupéré par ci par là, sans calles sous les roues, sans faire descendre les passagers, les voilà tous allongés sous le bus à entreprendre la réparation.
quant soudain, un bruit sec claque sous le bus. Le chauffeur, stoïque, continu quelques kilomètres, et décide, enfin, de savoir, pourquoi ce bruit.
Après diagnostic, c’est tout simplement les attaches du paquets de lames de ressort de la roue avant droite qui a cédé. Pas affolé du tout, le chauffeur et ces 4 aides, placent le cric sur quelque morceau de bois récupéré par ci par là, sans calles sous les roues, sans faire descendre les passagers, les voilà tous allongés sous le bus à entreprendre la réparation.
X coups de
marteau, mètres de cordage et fil de fer plus tard, nous reprenons la route.
13h, on s’arrête
pour casser la croute et autre nécessité, prés d’un réparateur de Pneus, et les
voilà encore sous le bus a consolider la réparation de fortune. Il fait très
chaud, 36°.
16h, en pleine grimpette d’une montagne, odeur de caoutchouc brulé et le bus ne vire plus. Diagnostic : les lames de ressort ont lâchés, le pont avant c’est déplacé et la roue frotte contre le châssis. Pas de panique, ils remettent le cric, ils démontent les lames, un garagiste du bled voisin amène la lame à changer,
16h, en pleine grimpette d’une montagne, odeur de caoutchouc brulé et le bus ne vire plus. Diagnostic : les lames de ressort ont lâchés, le pont avant c’est déplacé et la roue frotte contre le châssis. Pas de panique, ils remettent le cric, ils démontent les lames, un garagiste du bled voisin amène la lame à changer,
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